Michael Flatley

 

 

Et l'histoire commence ainsi : (ivret de lord of the dance)
"Le temps etait suspendu et Erin etait la déesse universelle ...., L'histoire etait deja écrite et chacun y connaissait son rôle. Mais les anciens clans, assis sur des cercles de pierre, entendirent des voix et le sommeil des esprits fut troublé. Une nouvelle puissance venue des ténèbres est venu défier Lord of The Dance" ....

Lords of the Dance c'est avant tout Michael Flatley

Michael Ryan Flatley est né le 16 juillet 1958 à Chicago. Issu d'une famille d'immigrants Irlandais, il passera une grande partie de son enfance entre l'Irlande et les Etats-Unis.

Il a été initié à la danse irlandaise par sa grand-mère, elle même championne de danse, à l'âge de 4 ans.

Mais ce n'est que plus tard, alors qu'il avait 11 ans, que sa mère Eilish (elle aussi championne de danse irlandaise) l'a inscrit avec son frère et ses 3 soeurs à ses premiers cours de danse.

Petit et peu impressionnant, il a du affronter des camarades d'école parfois difficile. Pour remédier à cela il a décidé de prendre aussi des cours de boxe.

C'est ainsi qu'il acquerra un certain respect, en devenant un des rares étudiants à gagner sa vie en multipliant les matches de boxe amateurs. Il remportera même plus tard le Gant d'or des Championnats de boxe amateurs de Chicago.

Il deviendra le premier américain à remporter les Championnats du monde de danse irlandaise.

Il accumulera ensuite plus de 120 prix, dans 13 pays, et dans la plupart des Etats américains.

Il est le plus jeune a avoir bénéficié de la "National Héritage" de Ronald Reagan, a avoir été reconnu comme l'un des plus grands interprètes de son pays par la fondation Artistique Nationale Américaine et a avoir obtenu une récompense pour ses qualités de danseur.

La National Geograhic Society" lui a décerné le titre de "Trésor vivant".

Enfin, il est entré dans le livre Guiness des records pour sa rapidité en comptabilisant 35 pas de claquette différents en 1 seconde.

Ses jambes ont été assurée par la Loyd's de Londres pour la modique somme de 45 millions de livres sterling.

Michael Flatley est aussi un flûtiste célèbre, et ses talents lui ont valu de remporter les championnats irlandais. Il ne se déplace jamais sans sa flûte, une pièce unique du 19ème siècle en bois de rose.

Il a fait ses premières apparitions dansées en public en accompagnant le groupe de musique irlandais " Les Cheiftains " lors de leurs spectacles.

Mais c'est avec la troupe de Riverdance qu'il s'est fait connaître du grand public, notamment lors du concours de l'Eurovision de 1994.

Après avoir quitté la troupe de Riverdance (pour des raisons obscures, les différentes versions étant radicalement opposées, il n'est pas facile d'en connaître les causes réelles), il créera et mettra en scène Lord of the Dance qui sera présenté 8 semaines après son départ, le 2 juillet 1996 à Dublin.

Le succès sera total :

On estime la recette totale de à plus de 250 millions de livres Sterling.

En 1997 La troupe fera une apparition exceptionnelle lors de la cérémonie des Oscars et fera sensation devant les plus grands noms du show business.

Le 25 juillet 1998, Michael organise une représentation spéciale à Londres, dans Hyde Park afin de clôturer la tournée de Lord of The Dance. Il y annonce la fin de sa carrière sur scène et déclare vouloir se consacrer à d'autres projets, comme la création de son premier film.

Mais en Mai 2000 il reapparait dans son nouveau spectacle; Feet of Flames.

 

Actuellemnt le film de lord of the dance est en tournage.

Les principaux danseurs :

Bernadette Flynn : ( c'est la Blonde)

Elle est la première danseuse de la troupe (avec Gillian Norris) et elle interprète le rôle de S aoirse (Liberté en Gaélique).

Elle a remporté 6 titres de Championne du monde de danse et 7 titres Irlandais.Elle est entrée dans la troupe en 1996 et en fait toujours partie.

 

Gillian Norris : (c'est la brune)

Elle a déjà remporté un titre Irlandais, le titre de Grande Bretagne et une troisième place aux championnats du monde de danse. Elle débute sur scène dans Lord of the Dance.

Elle y interprète le rôle de Merrighan, la tenteresse, la rivale de Saoirse.

Ele a participé au spectacle Feet of Flames à Londres, puis est revenue dans la troupe 2 de Lord of the Dance.

 

Daire Nolan :

Il a commencé dans Lord of the Dance en 1996 dans le rôle de Don Dorcha, l'ennemi du Lord. Il est rapidement devenu l'un des personnages phares de Lord of the Dance.

Il a aussi participé au spectacle Feet of Flames à High Park, avant de quitter la troupe.

 

Ellen Egan :
Elle y interprète le rôle du Petit Esprit, et ce depuis la première représentation, jusqu'au spectacle Feet of Flames à Londres en 1998

Aujourd'hui, elle a rejoint la troupe de Feet of Flames 2000 et y interprète le rôle du Fou de la cour.

 

Les chanteurs et musiciens

Anne Buckley
Elle interprète le rôle d'Erin la déesse dans Lord of the Dance et Feet of Flames, et celui de le Reine dans Feet of Flames 2000.

 

Naired Mesbitt (1er Violon)

 

Cora Smith (1er Voilon)

(Phenomenal ... A ne pas rater, dans le DVD feet of flame le duel de violon, monumental, ou comment danser a l'irlandaise tout en continuant a jouer.)

 

et enfin le compositeur de la musique

Roman Hardiman :

Lorsque Michael Flatley lui offre la mise en musique de Lord of the Dance en 1996, il a déjà réalisé plusieurs travaux pour la BBC .

Le succès de Lord of the Dance lui a valu de nombreuses offres, et la possibilité de faire un album solo "Solas" sorti en Mars 1998.

 

Quelques chiffres impressionnants

Lords of the Dance c'est aussi :

6 camions pour le transport de la scène .

Plus de 100 km de cables,

Une puissance de 3 000 amps,

770 h de travail pour l'installation de la scene a 70 personnes.

 

Une 4 eme troupe avait donné un spectacle devant pres de 1 000 000 de spectateurs au Disney Worl de Floride en 16 semaines.

En Mars 1998, le show a rempli le stade de Wembley a 21 reprises.

Environ 10 000 000 de personnes l'ont vu sur scene a fin 2001.

Si il y a 70 techniciens par troupes, il y a en tout 200 danseurs.

600 paires de chaussures a chaque tournee, 1 200 costumes,

Lord of the Dance c'est en 1999, trois disque d'or : USA, Australie, Royaume Uni,

4 millions d'exemplaires de la vidéo, et du DVD vendu a travers le monde.

 

Voici comment est décrit l'annonce du concert dans Ticket net : Ticketnet.fr

"Ils viennent d'Irlande, ils ont conquis la planète. Epoustouflant. En trois ans plus de 6 millions de spectateurs ont déjà ovationné Lord of the Dance. Deux heures à couper le souffle d'un spectacle qui retrace l'une des plus célèbres légende irlandaises, mariant de façon saisissante gigue endiablées, claquettes et rock Conçu par Michael Flatley, la star incontestée de la danse celtique et du "Irih Tap Dance": s'il ne danse plus dans ce spectacle, il reste le Directeur Artistique de cette troupe 50 danseurs et musiciens.2 écrans géants sont utilises pour démultiplier la performance des danseurs "

 

Regardencoulisses.com

 

Lord Of The Dance est sans conteste un show à l'américaine avec tous les critères que cela sous-entend. Tout est réglé comme du papier à musique, les garçons aux cheveux courts sont rasés de près et les filles toutes sorties du même moule ont des longs cheveux bouclés. Du début à la fin, la troupe arbore un large sourire. Cette béatitude est très communicante : si les danseurs semblent contents, le public, lui, ne boude pas non plus son plaisir. Dès l'entracte, tous les CD de la musique du spectacle sont déjà vendus !
Ce show conçu par Michael Flatley, danseur américain réputé pour ses chorégraphies celtiques, est composé d'une succession de tableaux aux trucs et astuces infaillibles pour séduire le public. Les mouvements d'ensemble de claquettes vous prennent aux tripes dès le premier numéro. Car la danse celtique contemporaine est caractérisée par des pas de claquettes très spécifiques. Les mélodies qui les accompagnent sont très simples mais presque toujours bien rythmées et servies par une sono digne d'un concert de rock. Dans ces conditions, on bat très rapidement la mesure en frappant dans les mains. Les orchestrations, très proches de la pop musique, sont également d'inspiration celte grâce aux violons, à l'accordéon et à la flûte. On apprécie vraiment la présence de cet orchestre qui joue en direct, à la différence de quelques importantes productions françaises qui utilisent encore des bandes magnétiques pré-enregistrées. Au rayon grand spectacle, on en a plein les yeux avec les effets pyrotechniques qui font sursauter ma voisine à chaque fois.

La grande force de ce show réside dans sa capacité à attirer un public très hétérogène : jeunes, vieux, femmes, hommes et enfants s'accordent tous pour une standing ovation à la fin du spectacle. Lord Of The Dance propose une vision très sucrée, voire presqu'enfantine de la culture celte. Quelques personnages issus de l'univers enchanteur et mythique des contes et légendes celtes font un lien entre les tableaux : une sorte de Fée Clochette joueuse de pipeau utilise sa poussière d'étoiles pour faire renaître de ses cendres le héros du spectacle et une chanteuse soprano dénommée Spirit interprète des chansons en gaélique. Le spectacle ne raconte pas vraiment d'histoire, "on imagine un peu ce qu'on veut" remarque ma voisine à la sortie du Zénith. De toute façon, qui est venu voir autre chose qu'une performance de danseurs bien mise en valeur par des jeux de lumières, des costumes et de la musique bien balancée ? Quand on prend son billet pour Lord Of The Dance, on s'offre deux heures de spectacle total où la danse celtique est au centre de tout et nous séduit totalement. D'ailleurs, ce beau brun, le danseur leader de la troupe, il faudrait que la prochaine fois j'aille lui demander personnellement quel est son record de claquettes en une minute…

 

www.lordofthedance.com (le site officiel de Michael Flattley)

 

Légende Irlandaise

Le spectacle, adapté de la légende Irlandaise, est ancré dans le Celtisme et développe les thèmes universels du bien et du mal, des lumières et des ténèbres, en une quinzaine de « tableaux » réunissant 35 danseurs. A la clé, un succès planétaire  : le spectacle a depuis été joué dans 40 pays devant plus de 50 millions de spectateurs.

En Juin 2005, Michael Flatley a crée un nouveau show : Celtic Tiger qui retrace l’histoire de l’Irlande  à travers les principales étapes de la vie du pays , depuis sa christianisation  et les multiples invasions qui ravagèrent l’Irlande au Moyen Age, jusqu’à la guerre d’indépendance qui opposa Anglais et Irlandais de 1919  à 1921. Le titre "tigre Celtique" fait réference au boom économique qui a touché l'Irlande des années 1990.  Hommage à l’esprit combatif des Irlandais et aussi de leurs descendants Irlando-Américains,  Celtic Tiger  est composé de musique et  danses nouvelles qui mêlent à la tradition celtique, les claquettes Americaines mais aussi le flamenco et le Hip – Hop. Le show Celtic Tiger ne passe pas par la France ( hélas ! )  mais le DVD sort Le 7 Avril.

 

Lien vers quelques vidéos : http://www.youtube.com/watch?v=lgEoWheDixQ&search=Riverdance

 

Interview :

Quand on lui demande ce qu'il sait dire en français, Michael Flatley lâche dans un grand rire : "Château-Latour" ! Il est vrai qu'il n'est rien de meilleur pour accompagner le steak qu'il aime dévorer… au petit-déjeuner ! Mais s'il ne parle pas notre langue, ce bon vivant sait parler en termes élogieux de son public hexagonal. "Lors de mon premier passage, nous avons eu droit à quatre standing ovations le même soir ! Les Français sont connaisseurs en matière d'art et ils peuvent saisir tout le travail que représente la mise au point de notre spectacle".

Michael Flatley a le regard bleu et profond des lacs du Connemara mais il est aussi perpétuellement bronzé qu'un Californien pure souche. Pour ce chantre de la culture celtique mâtiné de professionnalisme typiquement yankee, tout est toujours superlatif. Il n'est pas seulement danseur, il est le premier Américain à avoir remporté le championnat du monde de danse irlandaise. Il n'est pas danseur de claquettes, il est recordman du monde de vitesse de claquettes avec, tenez-vous bien, 35 pas à la seconde ! Et impossible de mettre cela en doute : "Les représentants du livre Guiness des Records et mes avocats étaient tous là pour certifier ma vitesse. Avec un pas classique, on ne peut pas y arriver. Moi, j'ai créé un pas spécial qui me permet d'être le plus rapide" . Toujours ce goût d'être le meilleur.

Le meilleur, il l'est devenu à la force du mollet. Confortablement installé sur le canapé de sa suite dans un palace parisien, il est bien loin aujourd'hui de la banlieue de Chicago où il est né. "Perdu au milieu des blacks, des hispaniques et des immigrés porto-ricains et italiens, il n'était pas facile à un petit Irlandais de se faire respecter. Je me bagarrais tous les jours et je voulais devenir boxeur". Heureusement, Papa et Maman Flatley veillaient au grain. Ils voulaient que fiston eût quelques bases artistiques. Imagine-t-on ce petit dur à la barre parallèle ? "Pourtant, ce qui a commencé comme une corvée devient peu à peu intéressant et même passionnant à partir du moment où j'ai compris que je pourrais en vivre". De ce passé qui mélangeait sport et danse, il lui est resté une grâce qui n'a rien d'éthérée, une virilité agressive qui met son public littéralement en transe.

Il a fait le succès de Riverdance - l'autre grand groupe celtique - mais s'en est éloigné à la suite de ce qu'on nomme pudiquement des "divergences artistiques" pour fonder sa propre troupe, Lord of the Dance, en 1996. Un spectacle qu'il a conçu, dirigé, chorégraphié et interprété : soif de contrôle absolu ? Il s'en défend. "Plus le nombre de décisionnaires est important et plus le produit final est affaire de compromis et moi, je voulais privilégier une seule vision, la mienne. Mais faire tout ça à la fois ne me pose aucun problème, au contraire, j'adore. J'ai un pas de danse dans la tête, je le crée sur scène et ensuite, je vois les autres le reprendre : c'est merveilleux".

 

Le monde est à ses pieds

Ne lui dites surtout pas qu'il surfe sur la vague du renouveau celte et, plus généralement, de la demande d'authenticité du public contemporain. "Je ne crois pas profiter de ce succès. Je pense au contraire que notre spectacle est en partie à l'origine de cet engouement. Nous montrons la profonde richesse et la modernité de cette musique celtique classique. Et la musique classique est une musique que le monde entier est capable d'apprécier parce qu'elle propose une thématique universelle". Il en veut pour preuve le succès phénoménal de Lord of the Dance partout dans le monde. "Nous remplissons les stades mieux qu'un groupe de rock . Les gens veulent du grand spectacle et nous savons leur en donner !".

Il se réjouit de faire travailler des dizaines de danseurs irlandais. "Ils gagnent leur vie en faisant ce qu'ils aiment plutôt que de rester à la rue, c'est formidable, non ? Mais c'est vrai qu'il m'arrive quelquefois de regretter de ne plus danser". Mais comment en aurait-il le temps avec trois troupes portant son nom qui tournent en Europe et en Amérique du Nord ? Il lui faut veiller à ce que la qualité ne baisse pas… dès qu'il n'est plus là. "Ma meilleure garantie, c'est la passion que mes danseurs mettent dans leur art… et la compétition qui règne entre les troupes. C'est à celle qui sera meilleure que les autres"…

Et bien sûr, tout cela ne suffit pas encore à ce boulimique du travail qui gère sa reconversion avec brio : il vient d'achever un livre, Victory, qui sortira en fin d'année. "Je l'ai écrit pour encourager les gens à suivre leurs rêves et à faire preuve de détermination dans l'adversité. C'est aussi ce que racontera mon film". Ah, parce qu'il y a un film en chantier ? "Oui. Il est actuellement en pré-production. Il devrait s'appeler Dream Dancer et ce sera une histoire d'amour… où la danse sera évidemment très présente sans que cela soit pour autant une vraie comédie musicale". D'ailleurs, le lendemain déjà, il quitte Paris pour l'ouverture du Festival de Cannes…

"Vaincre l'adversité", l'expression revient souvent dans sa bouche pour parler de son spectacle, de son livre, de son film. Vaincre ses adversaires, se vaincre soi-même, on sent que les cicatrices du petit boxeur écorché vif ne sont pas toutes refermées… "Quand on grandit dans un environnement aussi hostile, tout a valeur de tests, les coups qu'on prend, les coups qu'on donne", explique-t-il, soudain plus sombre. "Je crois qu'on reste comme ça toute sa vie. Les moments difficiles nous rendent plus forts pour savoir apprécier les bons moments à leur juste valeur". Il est des revanches qu'on ne finit jamais totalement de prendre, n'est-ce-pas ? Le sourire est redevenu conquérant. "Oh, mais j'aurai toujours de nouveaux défis à relever. Plus on grimpe haut, plus la vue porte loin à l'horizon".

En tout cas, tant que le succès sera au rendez-vous, Michael Flatley aura toutes les bonnes raisons de revenir régulièrement en France. Les caves de Château-Latour n'ont qu'à bien se tenir !

 

Michael Flatley - Lord of the Dance

Lord of the Dance

 

Sortie en salle en : 1998

Sortie à la vente : 24-11-1998

Résumé : Un spectacle magique avec un Michael Flatley au sommet de son art !

 

 

Michael Flatley - Gold

Gold

 

Sortie à la vente : 19-02-2002

Résumé : Ce programme passionnant rassemble les plus grands succès de Michael Flatley et une avant-première de deux spectacles exclusifs spécialement enregistrés pour ce programme lors du tournage du film de Flatley.

Vous pourrez savourer, également, 5 nouvelles chorégraphies et de nouvelles versions des spectacles filmés à Budapest où Michael Flatley a su rassembler un public de plus de 100 000 personnes en extase.

Au cours d’un entretien intime, Flatley nous dévoile l’histoire de sa fabuleuse carrière. Pour la première fois, il nous ouvre son album photos personnel et révèle des images uniques grâce auxquelles il nous fait découvrir ses danses favorites modernes et anciennes depuis le début de sa carrière jusqu’à aujourd’hui.

 

Michael Flatley - Feet of Flames

Feet of Flames

 

Enregistré à : Hyde Park le 25 juillet 1998

Sortie à la vente : 19-02-2002

Résumé :

Le 25 juillet 1998 - alors que le crépuscule tombait sur la célèbre "Route of Kings", à Hyde Park à Londres, un événement faisait l'histoire.

25 000 personnes s'étaient rassemblées pour assister à un extraordinaire spectacle de danse - Feet of Flames.

Plus de 100 danseurs sont ainsi entrés dans l'histoire - dirigés par le plus grand danseur de tous - Michael Flatley.

Avec des musiques, des danses, des scènes et des costumes nouveaux, Feet of Flames a mené Michael Flatley à la limite du possible - il vous transporte dans un voyage spectaculaire, à travers la lumière et les ténèbres, le bien et le mal, la passion et le désespoir, avec un final prodigieux à vous couper le souffle.

 

Michael Flatley – Celtic Tiger

Celtic Tiger

 

Sortie à la vente : 23-05-2006

Résumé : Michael Flatley, le maître de la danse internationalement reconnu, retourne sur les planches pour présenter son tout nouveau et percutant spectacle de danse, CELTIC TIGER.

Avec une musique prodigieusement rythmée, des costumes incroyables et des effets spéciaux à vous en couper le souffle, Celtic Tiger est un véritable chef d’oeuvre qui dépeint l’esprit et l’histoire de l’Irlande au moyen de musique et de danse. En accompagnement de ce tout nouveau spectacle vous pouvez trouver le film étourdissant 'TIGER FEET’. Une fois sur place à Budapest, vous aurez une vue émouvante et un aperçu de la création de Celtic Tiger. Vous assisterez à la célébration de l’incroyable nuit d’ouverture devant 100 000 personnes, ce qui fait de Celtic Tiger le plus gros spectacle de danse jamais produit dans l’histoire.

 

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